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C'est moi qui éteins les lumières / ZÅuyÅa PÅirzÅad
Titre : C'est moi qui éteins les lumières : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : ZÅuyÅa PÅirzÅad (1952-....), Auteur ; Christophe Balaÿ (1949-....), Traducteur Editeur : Paris : Zulma Année de publication : impr. 2011 Importance : 1 vol. (349 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84304-556-1 Prix : 20 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Persan moderne (per) Résumé : C'est moi qui éteins les lumières , immense succès en Iran à sa parution en 2001, se présente un peu comme une sorte de saga de la vie intime d'une Arménienne de l'exil perse, ou plutôt le journal non écrit, souvent rêvé, d'une « femme d'intérieur » aux prises avec un quotidien qui prend le visage le plus souvent éreintant et pathétique, parfois empreint d'une grâce magique, du temps qui passe.
Après deux recueils de nouvelles, le premier roman de Zoyâ Pirzâd, restitue ainsi avec une force de détails surprenante la vie de la communauté arménienne, quelque part à Abadan (ville natale de l'auteur), du côté de cette bourgeoisie de province un peu somnolente quoique soucieuse de son émancipation et toujours sourdement inquiète de son statut de minorité dans ce grand pays longtemps hospitalier.
Dans un quartier préservé de cette ville moyenne de la province du Khuzistan attachée au plus grand complexe pétrolier mondial que la guerre détruira (nous sommes dans les années soixante, avant le conflit irano-irakien), Clarisse, l'épouse et mère de famille à travers qui l'histoire se déploie, est une femme d'une profonde humanité, intelligente quoique sans le moindre quant-à-soi, d'une simplicité de c'ur qui nous la rend spontanément attachante. Le lecteur s'insinue avec une manière de sensualité chagrine dans le monologue intérieur de cette femme devenue presque invisible aux siens comme aux autres à force de s'être identifiée à son statut de parfaite ménagère. Par ses yeux, il observe le petit cercle qui se presse autour du foyer : un mari ingénieur à la raffinerie, fervent de jeu d'échecs et de politique, et qui ne peut se séparer de son expirante Chevrolet, les deux filles, adorables et malicieuses jumelles, Armène, le fils vénéré en pleine crise d'adolescence, et la vieille mère enfin qui règne sur la mémoire familiale. La vie de voisinage, l'école des enfants et le travail du père, les contrariétés d'une s'ur replète en mal de mariage, occupent démesurément l'esprit et le c'ur de la narratrice, laquelle ne saurait pas davantage quitter son tablier de femme d'intérieur que son 'il d'observatrice amusée et aimante malgré les attaques sournoises de l'amertume. Au sein de la famille et de l'entourage, la cuisine prend presque toute la place d'une communication devenue stéréotypée avec les années. Au gré des recettes arméniennes ou perses, des parfums des épices ou de l'épluchage des légumes, la réalité prend la saveur très particulière de la vie coutumière en Abadan.
Pourtant la très modeste Clarisse, cuisinière éprouvée qui se dévoue sans compter pour les siens, va bientôt révéler sa nature de personnage tchekhovien, au romanesque d'autant plus désarmant qu'il se montre on ne peut plus retenu. De nouveaux voisins se manifestent en effet grâce aux relations des enfants, une famille arménienne débarquée de Téhéran qui va très vite bouleverser l'équilibre affectif de notre femme invisible. Une grand-mère autoritaire au caractère tranché, de taille minuscule mais au verbe haut, et sa sombre petite fille Émilie encadrent le fils-père Emile, beau et sympathique quadragénaire un peu poète. Qui sont ces gens, quel drame dissimule leur sens contrasté de la convivialité ' La description de ces nouveaux venus nous vaut des pages d'une remarquable pénétration psychologique. En tout cas l'invisible Clarisse tombe insensiblement amoureuse d'Emile, lequel lui manifeste mille petits égards amicaux et finit par la prendre pour confidente. Peu préparée à ce genre d'intrusion, cette mère au foyer est si effarouchée des émois juvéniles qui l'envahissent, en parallèle à ceux de son jeune fils pour Émilie, qu'elle se perd en rêveries contradictoires.
Tout l'art de Zoyâ Pirzâd est de brosser à petites touches impressionnistes d'une grande justesse visuelle le portrait d'une société patriarcale scellée par les usages et traditions des femmes, tour à tour filles, épouses et mères. Et, par mouvants emboîtages, de restituer la réalité de la vie d'une minorité ancestrale, celle des Arméniens d'Iran pris dans l'ambiance plus vaste d'un pays d'accueil, cette Perse à la fois moderne et antique dont ce beau et fort roman dévoile pour nous la complexité culturelle et sociale. Peintre de la vie quotidienne, penchée avec une rare perspicacité sur la condition féminine en Orient, Zoyâ Pirzâd sait créer avec une langue simple, savamment proche de l'oralité, des décors et des situations quasi cinématographiques. On se souviendra avec force par exemple de la scène de l'invasion de sauterelles sur Abadan, effrayante comme les Oiseaux d'Hitchcock par ce qu'elle peut trahir des tensions plus ou moins irréfléchies des personnages. Le roman refermé sur l'image de papillons migrateurs, on gardera longtemps en mémoire cette foule de gens qui nous ressemblent de si loin, et parmi eux en priorité cette émouvante Clarisse, femme d'intériorité autant que d'intérieur, qui nous fait irrésistiblement penser à la romancière, à Zoyâ Pirzâd, l'Arménienne d'Iran.C'est moi qui éteins les lumières : roman [texte imprimé] / ZÅuyÅa PÅirzÅad (1952-....), Auteur ; Christophe Balaÿ (1949-....), Traducteur . - Paris : Zulma, impr. 2011 . - 1 vol. (349 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-84304-556-1 : 20 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Persan moderne (per)
Résumé : C'est moi qui éteins les lumières , immense succès en Iran à sa parution en 2001, se présente un peu comme une sorte de saga de la vie intime d'une Arménienne de l'exil perse, ou plutôt le journal non écrit, souvent rêvé, d'une « femme d'intérieur » aux prises avec un quotidien qui prend le visage le plus souvent éreintant et pathétique, parfois empreint d'une grâce magique, du temps qui passe.
Après deux recueils de nouvelles, le premier roman de Zoyâ Pirzâd, restitue ainsi avec une force de détails surprenante la vie de la communauté arménienne, quelque part à Abadan (ville natale de l'auteur), du côté de cette bourgeoisie de province un peu somnolente quoique soucieuse de son émancipation et toujours sourdement inquiète de son statut de minorité dans ce grand pays longtemps hospitalier.
Dans un quartier préservé de cette ville moyenne de la province du Khuzistan attachée au plus grand complexe pétrolier mondial que la guerre détruira (nous sommes dans les années soixante, avant le conflit irano-irakien), Clarisse, l'épouse et mère de famille à travers qui l'histoire se déploie, est une femme d'une profonde humanité, intelligente quoique sans le moindre quant-à-soi, d'une simplicité de c'ur qui nous la rend spontanément attachante. Le lecteur s'insinue avec une manière de sensualité chagrine dans le monologue intérieur de cette femme devenue presque invisible aux siens comme aux autres à force de s'être identifiée à son statut de parfaite ménagère. Par ses yeux, il observe le petit cercle qui se presse autour du foyer : un mari ingénieur à la raffinerie, fervent de jeu d'échecs et de politique, et qui ne peut se séparer de son expirante Chevrolet, les deux filles, adorables et malicieuses jumelles, Armène, le fils vénéré en pleine crise d'adolescence, et la vieille mère enfin qui règne sur la mémoire familiale. La vie de voisinage, l'école des enfants et le travail du père, les contrariétés d'une s'ur replète en mal de mariage, occupent démesurément l'esprit et le c'ur de la narratrice, laquelle ne saurait pas davantage quitter son tablier de femme d'intérieur que son 'il d'observatrice amusée et aimante malgré les attaques sournoises de l'amertume. Au sein de la famille et de l'entourage, la cuisine prend presque toute la place d'une communication devenue stéréotypée avec les années. Au gré des recettes arméniennes ou perses, des parfums des épices ou de l'épluchage des légumes, la réalité prend la saveur très particulière de la vie coutumière en Abadan.
Pourtant la très modeste Clarisse, cuisinière éprouvée qui se dévoue sans compter pour les siens, va bientôt révéler sa nature de personnage tchekhovien, au romanesque d'autant plus désarmant qu'il se montre on ne peut plus retenu. De nouveaux voisins se manifestent en effet grâce aux relations des enfants, une famille arménienne débarquée de Téhéran qui va très vite bouleverser l'équilibre affectif de notre femme invisible. Une grand-mère autoritaire au caractère tranché, de taille minuscule mais au verbe haut, et sa sombre petite fille Émilie encadrent le fils-père Emile, beau et sympathique quadragénaire un peu poète. Qui sont ces gens, quel drame dissimule leur sens contrasté de la convivialité ' La description de ces nouveaux venus nous vaut des pages d'une remarquable pénétration psychologique. En tout cas l'invisible Clarisse tombe insensiblement amoureuse d'Emile, lequel lui manifeste mille petits égards amicaux et finit par la prendre pour confidente. Peu préparée à ce genre d'intrusion, cette mère au foyer est si effarouchée des émois juvéniles qui l'envahissent, en parallèle à ceux de son jeune fils pour Émilie, qu'elle se perd en rêveries contradictoires.
Tout l'art de Zoyâ Pirzâd est de brosser à petites touches impressionnistes d'une grande justesse visuelle le portrait d'une société patriarcale scellée par les usages et traditions des femmes, tour à tour filles, épouses et mères. Et, par mouvants emboîtages, de restituer la réalité de la vie d'une minorité ancestrale, celle des Arméniens d'Iran pris dans l'ambiance plus vaste d'un pays d'accueil, cette Perse à la fois moderne et antique dont ce beau et fort roman dévoile pour nous la complexité culturelle et sociale. Peintre de la vie quotidienne, penchée avec une rare perspicacité sur la condition féminine en Orient, Zoyâ Pirzâd sait créer avec une langue simple, savamment proche de l'oralité, des décors et des situations quasi cinématographiques. On se souviendra avec force par exemple de la scène de l'invasion de sauterelles sur Abadan, effrayante comme les Oiseaux d'Hitchcock par ce qu'elle peut trahir des tensions plus ou moins irréfléchies des personnages. Le roman refermé sur l'image de papillons migrateurs, on gardera longtemps en mémoire cette foule de gens qui nous ressemblent de si loin, et parmi eux en priorité cette émouvante Clarisse, femme d'intériorité autant que d'intérieur, qui nous fait irrésistiblement penser à la romancière, à Zoyâ Pirzâd, l'Arménienne d'Iran.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5413274 R PIR Livre Saint-Pierre d'Entremont Romans Policiers Empruntable
DisponibleComment va la douleur ? / Pascal Garnier
Titre : Comment va la douleur ? : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Garnier (1949-....), Auteur Editeur : Paris : Zulma Année de publication : impr. 2006 Importance : 1 vol. (203 p.) Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84304-377-2 Prix : 16,50 EUR Langues : Français (fre) Comment va la douleur ? : roman [texte imprimé] / Pascal Garnier (1949-....), Auteur . - Paris : Zulma, impr. 2006 . - 1 vol. (203 p.) : couv. ill. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-84304-377-2 : 16,50 EUR
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6106274 R GAR Livre Saint-Pierre d'Entremont Romans adultes Empruntable
DisponibleComment va la douleur ? / Pascal Garnier
Titre : Comment va la douleur ? : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Garnier (1949-....), Auteur Editeur : Paris : Zulma Année de publication : impr. 2006 Importance : 1 vol. (203 p.) Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84304-377-2 Prix : 16,50 EUR Langues : Français (fre) Comment va la douleur ? : roman [texte imprimé] / Pascal Garnier (1949-....), Auteur . - Paris : Zulma, impr. 2006 . - 1 vol. (203 p.) : couv. ill. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-84304-377-2 : 16,50 EUR
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6427274 RP GAR Livre Saint-Pierre d'Entremont Romans Policiers Empruntable
DisponibleLes immortelles / Makenzy Orcel
Titre : Les immortelles : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Makenzy Orcel (1983-....), Auteur Editeur : Paris : Zulma Année de publication : impr. 2012 Importance : 1 vol. (133 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84304-588-2 Prix : 16,50 EUR Langues : Français (fre) Résumé : Makenzy Orcel
Les Immortelles
Un premier roman puissant, habité par le souffle du verbe. Fulgurant.
Les Immortelles, ce sont les prostituées de Port-au-Prince. L?une d?elles, la narratrice qui ravale son nom, prend à parti l?inconnu monté la voir au bordel. Apprenant qu?il est écrivain, elle lui propose un marché : contre son corps, écrire l?histoire des putains défuntes, emportées par le séisme sous les décombres de béton de Port-au-Prince. D?une surtout : la Petite, la fugueuse Shakira venue sous son aile un jour dans la haine de sa bigote de mère. De la belle et orgueilleuse Shakira toute pénétrée d?une passion dévorante pour les livres, pour Jacques Stephen Alexis surtout, l?immense écrivain qui fait battre le c?ur d?Haïti. « La Petite. Elle aimait les livres d?un amour fou. D?un amour du jamais vu? » Shakira la révoltée devenue la plus convoitée des putains de la Grand-Rue.
Avec ce roman de feu, qui marie le Ciel et l?Enfer, la transgression par le sexe et la mort atteint à la plus authentique humanité, la plus bouleversante, celle qu?aucune morale ne contrefait. Avec une liberté absolue de ton, Makenzy Orcel prête voix à tout un monde. « La Petite. Elle le disait souvent. Les personnages dans les livres ne meurent jamais. Sont les maîtres du temps. »
Aux lendemains du tremblement de terre qui a secoué Port-au-Prince avec la même force destructrice que la bombe d?Hiroshima, Makenzy Orcel a écrit les Immortelles pour dire la folie de vivre malgré l?épouvante autant que pour livrer le plus insolent témoignage face à l?apocalypse.
Makenzy Orcel est né à Port-au-Prince en 1983. Les Immortelles est son premier roman.Les immortelles : roman [texte imprimé] / Makenzy Orcel (1983-....), Auteur . - Paris : Zulma, impr. 2012 . - 1 vol. (133 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-84304-588-2 : 16,50 EUR
Langues : Français (fre)
Résumé : Makenzy Orcel
Les Immortelles
Un premier roman puissant, habité par le souffle du verbe. Fulgurant.
Les Immortelles, ce sont les prostituées de Port-au-Prince. L?une d?elles, la narratrice qui ravale son nom, prend à parti l?inconnu monté la voir au bordel. Apprenant qu?il est écrivain, elle lui propose un marché : contre son corps, écrire l?histoire des putains défuntes, emportées par le séisme sous les décombres de béton de Port-au-Prince. D?une surtout : la Petite, la fugueuse Shakira venue sous son aile un jour dans la haine de sa bigote de mère. De la belle et orgueilleuse Shakira toute pénétrée d?une passion dévorante pour les livres, pour Jacques Stephen Alexis surtout, l?immense écrivain qui fait battre le c?ur d?Haïti. « La Petite. Elle aimait les livres d?un amour fou. D?un amour du jamais vu? » Shakira la révoltée devenue la plus convoitée des putains de la Grand-Rue.
Avec ce roman de feu, qui marie le Ciel et l?Enfer, la transgression par le sexe et la mort atteint à la plus authentique humanité, la plus bouleversante, celle qu?aucune morale ne contrefait. Avec une liberté absolue de ton, Makenzy Orcel prête voix à tout un monde. « La Petite. Elle le disait souvent. Les personnages dans les livres ne meurent jamais. Sont les maîtres du temps. »
Aux lendemains du tremblement de terre qui a secoué Port-au-Prince avec la même force destructrice que la bombe d?Hiroshima, Makenzy Orcel a écrit les Immortelles pour dire la folie de vivre malgré l?épouvante autant que pour livrer le plus insolent témoignage face à l?apocalypse.
Makenzy Orcel est né à Port-au-Prince en 1983. Les Immortelles est son premier roman.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6413274 R ORC Livre Saint-Pierre d'Entremont Romans adultes Empruntable
DisponibleLa lettre à Helga / Bergsveinn Birgisson
Titre : La lettre à Helga : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Bergsveinn Birgisson (1971-....), Auteur ; Catherine Eyjolfsson, Traducteur Editeur : Paris : Zulma Année de publication : impr. 2013 Collection : Z a Importance : 1 vol. (160 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84304-646-9 Prix : 16,50 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Islandais (ice) Résumé : « Mon neveu Marteinn est venu me chercher à la maison de retraite. Je vais passer le plus clair de l?été dans une chambre avec vue plongeante sur la ferme que vous habitiez jadis, Hallgrímur et toi. » Ainsi commence la réponse ? combien tardive ? de Bjarni Gíslason de Kolkustadir à sa chère Helga, la seule femme qu?il aima, aussi brièvement qu?ardemment, d?un amour impossible.
Et c?est tout un monde qui se ravive : entre son élevage de moutons, les pêches solitaires, et sa charge de contrôleur du fourrage, on découvre l?âpre existence qui fut la sienne tout au long d?un monologue saisissant de vigueur. Car Bjarni Gíslason de Kolkustadir est un homme simple, taillé dans la lave, pétri de poésie et d'attention émerveillée à la nature sauvage.
Ce beau et puissant roman se lit d?une traite, tant on est troublé par l?étrange confession amoureuse d?un éleveur de brebis islandais, d?un homme qui s?est lui-même spolié de l?amour de sa vie.La lettre à Helga : roman [texte imprimé] / Bergsveinn Birgisson (1971-....), Auteur ; Catherine Eyjolfsson, Traducteur . - Paris : Zulma, impr. 2013 . - 1 vol. (160 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Z a) .
ISBN : 978-2-84304-646-9 : 16,50 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Islandais (ice)
Résumé : « Mon neveu Marteinn est venu me chercher à la maison de retraite. Je vais passer le plus clair de l?été dans une chambre avec vue plongeante sur la ferme que vous habitiez jadis, Hallgrímur et toi. » Ainsi commence la réponse ? combien tardive ? de Bjarni Gíslason de Kolkustadir à sa chère Helga, la seule femme qu?il aima, aussi brièvement qu?ardemment, d?un amour impossible.
Et c?est tout un monde qui se ravive : entre son élevage de moutons, les pêches solitaires, et sa charge de contrôleur du fourrage, on découvre l?âpre existence qui fut la sienne tout au long d?un monologue saisissant de vigueur. Car Bjarni Gíslason de Kolkustadir est un homme simple, taillé dans la lave, pétri de poésie et d'attention émerveillée à la nature sauvage.
Ce beau et puissant roman se lit d?une traite, tant on est troublé par l?étrange confession amoureuse d?un éleveur de brebis islandais, d?un homme qui s?est lui-même spolié de l?amour de sa vie.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6302274 R BIR Livre Saint-Pierre d'Entremont Romans adultes Empruntable
DisponibleLe peintre d'éventail / Hubert Haddad
PermalinkRosa candida / Auóur Ava Olafsdottir
PermalinkLa théorie du panda / Pascal Garnier
PermalinkLa vérité sur la lumière / Auóur Ava Olafsdottir
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