Titre : |
Chaman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Galsan Tschinag (1944-....), Auteur ; Isabelle Liber, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Métailié |
Année de publication : |
2012 |
Autre Editeur : |
27-Mesnil-sur-l'Estrée : Impr. CPI Firmin-Didot |
Collection : |
Bibliothèque allemande, ISSN 1248-4695 |
Importance : |
1 vol. (249 p.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86424-857-6 |
Prix : |
20,50 EUR |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) |
Résumé : |
Après de nombreuses années passées à sillonner le monde, Galsan Tschinag revient vers son peuple, les Touvas, des nomades du Haut-Altaï au nord de la Mongolie, pour y passer le soir de sa vie. Mais la situation est délicate, ses deux disciples chamans, ainsi que son peuple, ne sont pas d'accord sur le chemin à prendre pour affronter l'avenir. La vie nomade traditionnelle et le xxie siècle se dressent face à face comme deux géants inconciliables.
Pour apaiser les esprits, une caravane est envoyée au Lac Jaune où une colline sacrée doit être consacrée.
La narration tisse des rêves et des souvenirs du narrateur qui passe sa vie en revue pour en retenir les moments les plus importants : scolarité pendant les années 50 staliniennes, études supérieures à Leipzig dans les années 60, la première rencontre avec le Dalaï Lama en 1981, et la réalisation de son souhait le plus cher : la grande caravane avec laquelle son peuple retourne en 1985 dans le Haut-Altaï pour reprendre le mode de vie traditionnel nomade.
Galsan Tschinag est né au début des années 40 du siècle dernier dans une famille de nomades en Mongolie occidentale. Plus jeune fils de la famille, il est devenu chef de clan des Touvas de langue turkmène, une minorité ethnique de Mongolie. Dans les années 60 il a fait des études supérieures à Leipzig et commencé à écrire en allemand des romans, des récits, des poèmes. Depuis 1991, il vit de sa plume, le plus souvent à Oulan-Bator, mais passe aussi plusieurs mois avec son clan dans les montagnes de l'Altaï ou en voyages.
En 1991 il a reçu le prix Adelbert-von-Chamisso, en 2001 le prix Heimito-von-Doderer. |
Chaman [texte imprimé] / Galsan Tschinag (1944-....), Auteur ; Isabelle Liber, Traducteur . - Paris : Métailié : 27-Mesnil-sur-l'Estrée : Impr. CPI Firmin-Didot, 2012 . - 1 vol. (249 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - ( Bibliothèque allemande, ISSN 1248-4695) . ISBN : 978-2-86424-857-6 : 20,50 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger)
Résumé : |
Après de nombreuses années passées à sillonner le monde, Galsan Tschinag revient vers son peuple, les Touvas, des nomades du Haut-Altaï au nord de la Mongolie, pour y passer le soir de sa vie. Mais la situation est délicate, ses deux disciples chamans, ainsi que son peuple, ne sont pas d'accord sur le chemin à prendre pour affronter l'avenir. La vie nomade traditionnelle et le xxie siècle se dressent face à face comme deux géants inconciliables.
Pour apaiser les esprits, une caravane est envoyée au Lac Jaune où une colline sacrée doit être consacrée.
La narration tisse des rêves et des souvenirs du narrateur qui passe sa vie en revue pour en retenir les moments les plus importants : scolarité pendant les années 50 staliniennes, études supérieures à Leipzig dans les années 60, la première rencontre avec le Dalaï Lama en 1981, et la réalisation de son souhait le plus cher : la grande caravane avec laquelle son peuple retourne en 1985 dans le Haut-Altaï pour reprendre le mode de vie traditionnel nomade.
Galsan Tschinag est né au début des années 40 du siècle dernier dans une famille de nomades en Mongolie occidentale. Plus jeune fils de la famille, il est devenu chef de clan des Touvas de langue turkmène, une minorité ethnique de Mongolie. Dans les années 60 il a fait des études supérieures à Leipzig et commencé à écrire en allemand des romans, des récits, des poèmes. Depuis 1991, il vit de sa plume, le plus souvent à Oulan-Bator, mais passe aussi plusieurs mois avec son clan dans les montagnes de l'Altaï ou en voyages.
En 1991 il a reçu le prix Adelbert-von-Chamisso, en 2001 le prix Heimito-von-Doderer. |
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